Planète Thiéfaine

[trompette]

Bonsoir Doc

[trompette]

Ha! ha! au voleur, à l'assassin, justice , juste ciel, ce message n'est pes de moi
on m'a volé mon speudo
Ho! voleur



Coucou Docki c'est l'histoire d'un seminariste à moto....
Je suis un peu gai ce soir, l'alcool m'aide à me désinhiber
Comme tu ne réponds pas à mes SMS, alors je suis venu faire un tour du côté de planéte et comme je suis une pervers (comme toute les femmes), je constate que tu profites de la confiance que j'ai mit à l'interrieur de toi pour utitliser mon speudo à des fins complètement stupide....
Le message ci-dessus est un message de crétin...
M'as tu déjà lu écrire ce genre de balivernes...
Gros dibousssssss Yangu, you are welcom

[LunarCaustic]

Bonsoir Doc, Trompette en vrai et Trompette en faux...

(PS : Ceci est un message de crétin, mais malgré tous mes efforts, il ne s'autodétruira malheureusement pas... Nous ferons donc avec, hein Bises a vous !)

[trompette]

Salut Lunar,

Une vrai, une fausse ou bien trompette en TOC de pacotille,
Non je suis une trompette en chair et en os.

[LunarCaustic]

Trompette de la Renommée

Je vivais à l'écart de la place publique,
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique...
Refusant d'acquitter la rançon de la gloir',
Sur mon brin de laurier je dormais comme un loir.
Les gens de bon conseil ont su me fair' comprendre
Qu'à l'homme de la ru' j'avais des compt's à rendre
Et que, sous peine de choir dans un oubli complet,
J' devais mettre au grand jour tous mes petits secrets.

{Refrain:}
Trompettes
De la Renommée,
Vous êtes
Bien mal embouchées !

Manquant à la pudeur la plus élémentaire,
Dois-je, pour les besoins d' la caus' publicitaire,
Divulguer avec qui, et dans quell' position
Je plonge dans le stupre et la fornication ?
Si je publi' des noms, combien de Pénélopes
Passeront illico pour de fieffé's salopes,
Combien de bons amis me r'gard'ront de travers,
Combien je recevrai de coups de revolver !

A toute exhibition, ma nature est rétive,
Souffrant d'un' modesti' quasiment maladive,
Je ne fais voir mes organes procréateurs
A personne, excepté mes femm's et mes docteurs.
Dois-je, pour défrayer la chroniqu' des scandales,
Battre l' tambour avec mes parti's génitales,
Dois-je les arborer plus ostensiblement,
Comme un enfant de chœur porte un saint sacrement ?

Une femme du monde, et qui souvent me laisse
Fair' mes quat' voluptés dans ses quartiers d' noblesse,
M'a sournois'ment passé, sur son divan de soi',
Des parasit's du plus bas étage qui soit...
Sous prétexte de bruit, sous couleur de réclame,
Ai-j' le droit de ternir l'honneur de cette dame
En criant sur les toits, et sur l'air des lampions :
" Madame la marquis' m'a foutu des morpions ! " ?

Le ciel en soit loué, je vis en bonne entente
Avec le Pèr' Duval, la calotte chantante,
Lui, le catéchumène, et moi, l'énergumèn',
Il me laisse dire merd', je lui laiss' dire amen,
En accord avec lui, dois-je écrir' dans la presse
Qu'un soir je l'ai surpris aux genoux d' ma maîtresse,
Chantant la mélopé' d'une voix qui susurre,
Tandis qu'ell' lui cherchait des poux dans la tonsure ?

Avec qui, ventrebleu ! faut-il que je couche
Pour fair' parler un peu la déesse aux cent bouches ?
Faut-il qu'un' femme célèbre, une étoile, une star,
Vienn' prendre entre mes bras la plac' de ma guitar' ?
Pour exciter le peuple et les folliculaires,
Qui'est-c' qui veut me prêter sa croupe populaire,
Qui'est-c' qui veut m' laisser faire, in naturalibus,
Un p'tit peu d'alpinism' sur son mont de Vénus ?

Sonneraient-ell's plus fort, ces divines trompettes,
Si, comm' tout un chacun, j'étais un peu tapette,
Si je me déhanchais comme une demoiselle
Et prenais tout à coup des allur's de gazelle ?
Mais je ne sache pas qu'ça profite à ces drôles
De jouer le jeu d' l'amour en inversant les rôles,
Qu'ça confère à ma gloire un' onc' de plus-valu',
Le crim' pédérastique, aujourd'hui, ne pai' plus.

Après c'tour d'horizon des mille et un' recettes
Qui vous val'nt à coup sûr les honneurs des gazettes,
J'aime mieux m'en tenir à ma premièr' façon
Et me gratter le ventre en chantant des chansons.
Si le public en veut, je les sors dare-dare,
S'il n'en veut pas je les remets dans ma guitare.
Refusant d'acquitter la rançon de la gloir',
Sur mon brin de laurier je m'endors comme un loir.

Ou encore, Trompette de la Mort



Bye

[DROÏDE]

De qui est-ce, Lunar?

[LunarCaustic]

Exactement !

En plus j'ai pensé à toi en le postant Docky

[DROÏDE]

Il me semblait bien que ces paroles ne m' étaient pas inconnues, mais vu que Brassens n' est pas dans mes tendances.
Merci pour le renseignement & bonne journée à vous 2 & à tous les autres.

[trompette]

Salut Lunar,

Doc aussi me chante Brassens mais uniquement le refrain. Il le fait trés bien, même qu'il a une guitare.
Thiéfaine aussi a chanté sur une musique de Brassens à Macon, c'était pendant la tournée accoustique. Mais je ne sais plus de qui était le texte.
Il faudrait que je cherche mais peut être que quelqu'un s'en souvient.

[Stephan]

Pensée des morts.
Un texte de Lamartine, sur une musique de Georges Brassens...

[trompette]

Merci Stephan,
J'ai un truc de toi qui traîne dans ma boîte à CD

[LunarCaustic]

Yep

Merci à vous...

[trompette]

Salut Lunar,

J' ai une photo de toi au chien à plumes si tu me donne plus d'info sur toi je te l'envoi par e-mail
Si non je la vire de mon stock place oblige

[LunarCaustic]

Yep !!! Mp...