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Planète Thiéfaine
Discussion générale sur le chanteur rock Hubert-Félix Thiéfaine
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Message |
Camelia
Inscrit le: 08 Nov 2005
Messages: 1087
Localisation: de l'autre côté du passage obscur...
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 Posté le: 14 Déc 2007, 22:04 Sujet du message: Pollen sur France Inter |
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qui a écouté ??
c'était quoi le morceau à la fin ??
il me semble connaître ce morceau..
est-ce une adaptation ???
merci, ça me travaille  |
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f756du720310
Inscrit le: 21 Fév 2007
Messages: 72
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| Posté le: 14 Déc 2007, 22:10 Sujet du message: |
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Cauchemar psychomoteur de Hugues Aufray  |
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Camelia
Inscrit le: 08 Nov 2005
Messages: 1087
Localisation: de l'autre côté du passage obscur...
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| Posté le: 14 Déc 2007, 22:11 Sujet du message: |
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| Merci beaucoup!!! |
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f756du720310
Inscrit le: 21 Fév 2007
Messages: 72
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| Posté le: 14 Déc 2007, 22:12 Sujet du message: |
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Cauchemar psychomoteur
Paroles: Hugues Aufray, Pierre Delanoë. Musique: Bob Dylan 1965 "Aufray chante Dylan"
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Comme j'avais beaucoup marché
J'étais fatigué
Je vois une espèce de ferme
Je me dis j'vais m'arrêter
J'ai dit hé hé là-dedans
Y a-t-il quelqu'un de vivant
Je me sentais vraiment seul
Devant la maison
Quand soudain devant moi
Un grand gaillard de fermier
Vient me braquer son canon
A la hauteur du menton
Je tombais sur les genoux
En criant mais vous êtes fous
Moi j'aime bien les fermiers
Ne me tuez pas s'il vous plaît
Il s'en est fallu d'un rien
Qu'il ne me tire comme un lapin
C'est vous l'espèce de vagabond
Qui vient pour mendier
J'ai dit non non non
Je n'suis pas c'que vous croyez
En droit je suis licencié
J'ai fait l'Université
Alors arriva la fille
Qui s'appelait Rita
Ell' semblait tout droit sortie
D'la Dolce Vita
Et je me mis en devoir
De l'amadouer comme son père
Je lui dis la jolie ferme
Que vous avez là
Dit's-moi qu'est ce qu'un étudiant
Connaît à l'agriculture
J'ai répondu braves gens
Je suis un puits de culture
En voyant mes ongles sales
Il sut que je travaillais
Il me dit d'un air futé
Vous avez l'air fatigué
Oh oui j'ai fait huit cent bornes
Et j'en ai vraiment plein l'dos
Il me jeta sur la paille
Avec les bestiaux
Tâchez de rester tranquille
Ou sinon moi je me fâche
Ne touchez pas à ma fille
Et demain faut traire les vaches
Je ne dormais que d'un œil
Quand Rita vint me secouer
Elle me faisait de l'œil
Comme Tony Perkins
Elle me dit viens prendre un' douche
Je vais te montrer où c'est
J'ai répondu hey hey hey
C'coup là on m'la déjà fait
J'essayais de m'défiler
Je n'savais pas trop comment
Mais Rita a insisté
Vraiment très très gentiment
Je n'pouvais plus m'en tirer
J'avais l'air d'un lâche
J'aurais pas dû accepter
D'aller demain traire les vaches
Pour sortir de cette histoire
Fallait trouver un moyen
J'ai crié Fidel Castro
C'est un bon copain
Rita parût suffoquée
J'ai cru que c'était gagné
Quand le fermier soudain surgit
En hurlant qu'est ce que t'as dit
J'ai dit vive Fidel Castro
Vous m'avez compris
Il me tomba sur le dos
A bras raccourcis
Rita parla de sa mère
Qui dormait au cimetière
Tandis qu'le vieux me flanquait
Un coup dans l'buffet
En enfer je t'expédie
Si tu n't'en vas pas tout d'suite
Espèce d'étudiant pourri
Espèce de rat communiste
Il me jeta à la tête
Un paquet d'readers digest
Moi je fis une pirouette
Le vieux prit son escopette
J'éclatais par la fenêtre
A cent quatre vingt à l'heure
Et j'atterris en tempête
Dans un pot de fleurs
Revenez criait Rita
Le père chargeait son engin
Quand le soleil se leva
Moi j'étais déjà très loin
Même si Rita est partie
Je n'reviendrai pas d'sitôt
Chez ce vieux fermier maudit
Car j'ai trouvé un boulot
Mais la sacrée vieille canaille
Espère bien me faire cueillir
Un jour par son F B I
Mais il peut courir
Je continue à penser
Envers et contre tous
Sans liberté de parler
On est moins que rien du tout |
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Camelia
Inscrit le: 08 Nov 2005
Messages: 1087
Localisation: de l'autre côté du passage obscur...
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| Posté le: 14 Déc 2007, 22:13 Sujet du message: |
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une adaptation de Dylan!!
Super, merci beaucoup!!!  |
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PK
Inscrit le: 01 Nov 2007
Messages: 66
Localisation: Marseille
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| Posté le: 14 Déc 2007, 23:12 Sujet du message: |
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C'était bien  |
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yoann
Inscrit le: 11 Juin 2006
Messages: 1059
Localisation: Persan- Val d'Oise
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| Posté le: 15 Déc 2007, 07:16 Sujet du message: |
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C'était superbe!!
L'émission est en écoute sur le site de France Inter! |
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Camelia
Inscrit le: 08 Nov 2005
Messages: 1087
Localisation: de l'autre côté du passage obscur...
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| Posté le: 15 Déc 2007, 08:52 Sujet du message: |
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Merci Yoann, je vais réécouter ça!!
c'est vrai que c'était un régal, et Hubert ne s'est pas planté sur le fameux "quand je s'rai grand moi, jveux être mort!!!!"...
(alors que dans l'émission "ce soir ou jamais" il avait merdouillé : "quand je s'rai grand, moi, je s'rai mort!!!  )
Bref, ça met carrément l'eau à la bouche pour le 28 juin!! |
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neverbeen
Inscrit le: 17 Nov 2005
Messages: 7
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| Posté le: 15 Déc 2007, 10:19 Sujet du message: |
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Coucou la planete...
Pollen de qualité en effet.
Merci f756du720310 pour l'info et bravo pour cette trés belle interprétation...
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Camelia
Inscrit le: 08 Nov 2005
Messages: 1087
Localisation: de l'autre côté du passage obscur...
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| Posté le: 15 Déc 2007, 10:20 Sujet du message: |
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| Ah ben ouais, je la veux à l'Olympia celle-là !!!! |
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f756du720310
Inscrit le: 21 Fév 2007
Messages: 72
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| Posté le: 15 Déc 2007, 10:25 Sujet du message: |
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Ouais, super ambiance. Dans la lignée de l'interview qu'ils ont donnée à lalibre.be : ils ont décidé de ne pas se prendre au sérieux et ça fait plaisir de les voir s'amuser comme ça !
| lalibre.be a écrit: | Johnny leur a filé le blues...
Sophie Lebrun
Mis en ligne le 15/12/2007
Deux grands noms - plutôt "hors-la-loi" - de la scène française, Hubert Félix Thiéfaine et Paul Personne, ont uni leurs talents le temps d'un album de blues. Jeu autant que "cri primal". Un sacré duo de "troubadours on the road".
entretien
Mesdames, messieurs, pour vous ce soir : Les Icônes" ! lance, goguenard, Hubert Félix Thiéfaine, en répétition avant un enregistrement pour une radio, dans un café bruxellois. Avec son compère Paul Personne (et leurs géniales guitares), ils forment un sacré duo. Cela fait longtemps qu'ils y songeaient, c'est à présent chose faite : après des collaborations ponctuelles, ces deux grands - plutôt hors-la-loi - de la chanson et du blues français, respectivement 60 et 58 ans, ont créé un album ensemble : "Amicalement blues". Thiéfaine a mis en mots écorchés, nostalgiques, inquiets et crus, les mélodies de Personne, efficaces, dopées aux six cordes électriques, torsions magnifiques. Puis ils se sont partagé le chant et entourés d'un batteur et d'un bassiste.
C'est Johnny Hallyday qui, en commandant aux deux gaillards des titres de blues qu'il laissera finalement sur le carreau, a été l'instigateur involontaire de leur disque commun. Celui-ci contient d'ailleurs deux morceaux écrits initialement pour l'idole des (moins) jeunes : "Avenue de l'amour" et "Photographie d'un rêveur". Un "amical" album blues, très blues, en l'occurrence.
Johnny est le catalyseur de votre projet. Il vous aura donc fallu une "commande" extérieure pour que vous fassiez un album ensemble ! ?
PP : On en avait le projet plus ou moins lointain, mais on n'avait jamais de temps libre simultanément. Mais c'est indépendant de la volonté de Johnny, cette histoire. Cela faisait longtemps qu'il m'avait demandé des musiques pour son album blues. Ce n'est que sur la dernière ligne droite qu'Hubert s'est retrouvé à écrire des textes... sur mes musiques.
HFT : Au début, je devais faire danseuse, sur un des clips, mais ça n'a pas marché...
Mais Johnny n'a pas gardé vos morceaux. Vous ne l'avez pas mal pris ?
PP : On a été un peu déçus, sur le moment. Avec Hubert, on s'était bien branchés sur le truc. Mais c'était l'occase qui faisait le larron. Si nos morceaux avaient été pris par Johnny, on n'aurait pas encore fait cet album-ci. Le fait de bosser une semaine pour lui sur deux titres, nous envoyer des fax, ça nous a refilé l'envie, le pep's, pour travailler ensemble. Dès qu'on a su que nos morceaux n'étaient pas pris, Hubert m'a appelé : bon, on le fait, notre album de blues ?
Que représente Johnny pour vous ?
HFT : On comptait beaucoup sur lui, en mai : notre rêve, c'est de passer le 14 juillet dans les jardins de l'Elysée, et comme il a des ouvertures... Ça a été notre déception. Déception dit blues... Sérieusement, quand j'étais chanteur des Caïd-Boys en 1960, mon premier groupe, je chantais "Kili Watch". C'était notre idole, oui. Après, j'ai repris "Le Pénitencier" bien sûr, et entre-temps, j'ai chanté (NdlR : il s'exécute, à tue-tête) "Pour une seule poignée de te-er-re...".
PP, qui enchaîne : "Dans la vallée de l'Oklahoma-a-a..."
PP et HFT, en choeur : "Depuis qu'ma môme est parti-i-ie...".
PP : Je devais avoir 11 piges, la première fois que je l'ai vu à la télé. J'ai vu ce mec avec un fute en cuir, chemise en dentelles, se rouler par terre en chantant... Ça n'a pas branché mes parents du tout, mais ça a été mon premier rock'n'roll à moi. Johnny avait un charisme...
HFT : J'ai été viré du conservatoire, j'avais 10 ans. J'ai décidé : la musique, plus jamais. Comme mon père disait "Johnny, c'est pas de la musique", je me suis dit que je pouvais chanter Johnny. Mais il a été important ce mec ! Il a fait le joint entre l'Amérique et l'Europe. Si, après, on a pu apprécier Bob Dylan ou les Stones, c'est parce des gens comme Johnny sont passés avant et ont distillé l'Amérique, l'ont mise à notre sauce. Et puis je faisais du latin et du grec, pas d'anglais : je ne comprenais pas ce que disait Eddie Cochran ou Elvis Presley. Tandis que Johnny...
Comment avez-vous procédé, créé ensemble cet album ?
HFT : Paul m'envoyait des musiques, avec du chant en yaourt ou en franglais. J'essayais de garder, d'une part, ce qu'il voulait peut-être dire derrière un concept abstrait, tel "Dream lover" : si Paul a dit ces mots, là, c'est que quelque part il faut que je bosse sur le concept du "dream" ou du "lover"... En même temps, j'essayais de veiller aux sonorités et surtout à la mise en place, où Paul est intransigeant. Il a follement raison : le blues, il est là-dedans, dans la place des mots qui claquent quand ils sont au bon endroit, à un demi-temps près.
Quelles limites, quels objectifs vous étiez-vous posés ?
PP : Pas grand-chose, c'était un coup de fun. Une récréation.
HFT : Il est possible qu'on ait été un peu déçus par le refus. Mais ça, c'est le blues. On nous a demandé du blues. Eh bien, on en a vraiment fait quand on nous a refusé celui que nous avions proposé !
PP : Hubert a transformé un truc négatif en truc très positif.
HFT : Il m'appelle le "winner", moi, vous imaginez ?
PP : Parce que tu es un combattant, un guerrier quelque part...
HFT : Par désespoir de cause. Je ne suis pas un guerrier heureux, mais j'y vais, oui, j'aime me battre.
Vos textes ne sont pas très joyeux; le gars qui se sent tel "une épave à brader", la fille qui "marche sur son ombre", le "clochard en smoking, toujours en manque"...
HFT : Si vous saviez combien de lettres j'ai reçu, de gens qui me disent que je leur ai fait du bien...
PP : C'est le principe de la musique. Moi aussi, j'ai cette image de blues qui me colle à la peau, alors que j'ai la liberté de faire ce qui m'intéresse. Tous les bluesmen que j'ai rencontrés génèrent ce côté hyper positif en concert : ils racontent des histoires un peu déprimantes - tout en se foutant de leur propre gueule. Et le public se dit "on n'est pas seul à ressentir ça !" C'est pour ça que cette musique touche beaucoup de gens, elle enlève cette putain de solitude.
HFT : Dans mes chansons, je ne parle que d'amour - et du manque d'amour, et de l'amour mal vécu -, mais peut-être pas de la même façon que beaucoup de gens...
Et vous, comment vous sentez-vous, là, après avoir fait cet album ?
PP : Il est hyperélectrique, mais pour la promo, on s'est lancé dans l'un ou l'autre titre en acoustique, à deux. On est comme deux troubadours "one the road", avec nos grattes, sans prétention. On s'amuse, on sait qu'on n'est pas les rois du monde, ce n'est pas nickel.
HFT : Dès le départ, on a dit : on fait du blues, simple et efficace, et les regrets font partie du projet. On en aura, car on veut aller vite, prouver que le blues est un cri primal. On a passé très peu de temps en studio, il n'y a eu qu'une semaine de mixage. On a fait tout le disque en deux mois et demi !
PP :... sans se retourner : "on balance le truc, et ça y est".
"Les icônes" comme vous dites sur scène...
PP: C'est le nouveau nom du groupe. Si on part en tournée, ça va s'appeler le Zicône Tour.
Vous prévoyez une tournée ?
HFT : On veut que ça soit un jeu, là aussi. Il y a un Olympia le 28 juin, et puis... des festivals. On ne veut pas faire une "tournée" : c'est trop sérieux, trop professionnel, on risquerait de casser le jeu.
PP : On ne veut pas finir comme Crosby, Stills, Nash & Young à la grande période : ils se montraient comme des babas, des frères... En fait, ils arrivaient chacun dans leur limousine, en se détestant tous.
HFT : On veut garder le jet de joie qu'on a eu au départ. Sinon, ce serait mortel. On se péterait la gueule, à vouloir exploiter cette histoire... On veut continuer à s'amuser dans notre cour de récré. On a défini ses limites, c'est tout. Tous les cinglés qui veulent y venir sont les bienvenus...
Thiéfaine/Personne, "Amicalement blues", Sony BMG. |
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yoann
Inscrit le: 11 Juin 2006
Messages: 1059
Localisation: Persan- Val d'Oise
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| Posté le: 15 Déc 2007, 12:37 Sujet du message: |
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Une très belle interview!!
J'espère quand même qu'on aura au moins un batteur et un bassiste pour l'Olympia, parce que l'acoustique au bout d'un moment!!! |
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DROÏDE
Inscrit le: 08 Aoû 2006
Messages: 861
Localisation: Liège(Belgique)
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| Posté le: 17 Déc 2007, 09:37 Sujet du message: |
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Merci pour l' interview, Arnaud!  |
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Mathias
Inscrit le: 21 Mar 2005
Messages: 253
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| Posté le: 20 Déc 2007, 23:37 Sujet du message: |
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| Super interview, en effet... Merci ! |
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Daniel
Inscrit le: 04 Mar 2005
Messages: 466
Localisation: Aux montagnes hallucinées
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| Posté le: 21 Déc 2007, 12:18 Sujet du message: |
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| Beaucoup de sincérité, de pudeur et de modestie... Très bien ! |
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